LinuxFr.org
Cette dépêche est la neuvième de sa série, après celles de 2011, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019
Cette année est particulière, avec d’un côté une pandémie et ses conséquences dans le domaine de la santé (une partie des dons va aller vers la recherche médicale, les fonds de soutien aux urgentistes, etc.), et d’autre part les conséquences sociales de la crise sanitaire comme le chômage et la pauvreté (une autre partie des dons va se réorienter vers les soupes populaires, l’hébergement d’urgence, etc.). On pourrait ajouter les tensions dans la société qui pourraient orienter des dons vers les journalistes (suivi des violences et vérification des faits), les observateurs des prisons, etc. Les informations sur ce sujet me semblent facilement accessibles par ailleurs, je ne les détaillerai pas plus (et je ne suis pas forcément le mieux à même de parler de tous ces sujets non plus, d’autres le font bien mieux).
Non, cette année encore, je m’adresse à toi libriste, qui a procrastiné jusqu’aux dernières heures pour faire des dons déductibles des impôts (ou non). Toute l’année (et celle d’avant) on se promet de soutenir telle ou telle action sur tel ou tel sujet qui nous semblait extrêmement important. Citons par exemple quelques associations de promotion et défense du Libre, des droits dans l’espace numérique ou de la liberté d’expression, dont les dons sont déductibles en France : Amnesty France, Debian France, Framasoft, Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), Libre à Toi / Radio Cause Commune, Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Open Food Facts, OpenStreetMap France, Reporters Sans Frontières (RSF), Wikimédia France, etc.
Et comme tu fais vivre les principes du Libre, que tu contribues à des projets libres et défends des idées, tu soutiens aussi des associations ne bénéficiant pas de la déductibilité des dons en France (par exemple, des associations jugées trop dérangeantes ou trop critiques par le gouvernement… ou des associations européennes ou non, voire des associations n’ayant jamais fait la démarche, comme LinuxFr). Citons par exemple AFUL, April, European Digital Rights (EDRi), En Vente Libre, Exodus Privacy, FACIL, FFII, FSF (avec une longue liste de méthodes pour donner), FSF Europe (déductibilité dans plusieurs pays), Internet Archive (déductible aux États‐Unis), GNOME, KDE e.V (déductible en Allemagne), Léa-Linux, LILA, LQDN, Mageia, Nos Oignons, OKFN, SlackBuild.org, Tails (déductible en Allemagne), Toile Libre, Ubuntu-Fr, etc. (notez qu’elles peuvent parfois avoir la déductibilité des dons dans d’autres pays, voir la décision C-318/07 mentionnée plus bas).
Cette dépêche récurrente vit aussi grâce à vos remarques, propositions d’ajouts, de compléments et vos retours sur les systèmes fiscaux et les dons dans vos pays respectifs. N’hésitez pas à la commenter pour l’enrichir. Bien que récurrente, cette dépêche est mise à jour et enrichie chaque année.
Précision : la dépêche parle bien de « don » (je soutiens sans rien obtenir à titre personnel), pas de « financement participatif avec contrepartie » (je cofinance en échange de goodies ou avantages), les deux étant destinés à des choses différentes. Si vous avez lu jusqu’ici, un dessin xkcd sur le sujet en récompense (et d’autres images plus loin pour récompenser les libristes patients qui liront jusqu’au bout).
Quand une association veut passer de zéro à un permanent ou à un permanent de plus, elle n’a généralement pas en réserve de quoi le payer sur une année complète. Elle prend donc un risque avec une visibilité sur x mois (comme n’importe quel chef d’entreprise), en faisant de son mieux pour que l’argent rentre (le nouveau permanent va « produire », une campagne de communication ou d’appel à don ou autres sera lancée, une subvention sera recherchée, une convention sera signée avec tel ou tel, des goodies seront vendus, etc.).
Une association qui ne veut pas s’embêter à rechercher des fonds ou qui ne vise pas à passer le cap du premier permanent n’a pas du tout ce souci et peut être très indolente si elle veut.
Dès qu’il y a un besoin récurrent de payer des salariés, de payer à date les charges de l’employeur — qu’il faut prévoir à trois mois s’il faut gérer un préavis de licenciement économique ou pas, etc., cela devient plus compliqué (comme pour n’importe quel chef d’entreprise). Une association militante qui ne prendrait pas de risque financier du tout, ce n’est pas envisageable à mon avis. Toute la question étant de savoir combien elle réussit à faire rentrer d’argent au moment où c’est nécessaire, si elle peut continuer à embaucher pour grossir, faire plus d’actions ou faire mieux, si elle doit licencier, ou bien si elle doit stagner ou continuer ainsi dans l’immédiat.
Donc, oui, on a toujours l’impression que les associations ayant des permanents recherchent de l’argent (et décembre est particulier, car c’est la fin de l’exercice fiscal et traditionnellement la période des dons défiscalisés, notamment côté humanitaire associé aux bons sentiments des fêtes de fin d’année). Et oui, en décembre, la Croix Rouge, April, RSF, LQDN, la FSF, Amnesty, Framasoft et bien d’autres font des appels à don.
En dehors de la simple mais cruciale question de la trésorerie (pérennité / continuité), il y a bien évidemment aussi les projets et actions futures à financer. Citons par exemple la justification de Framasoft (9 permanent·e·s) en six points :
Exemple pour un particulier : je suis imposable et donne 99 € à l’association XYZ bénéficiant de la déductibilité des dons à hauteur de 66 %. Mon don me coûte en fait (au final) 33 €, j’ai temporairement avancé 66 € qui seront ensuite déduits de mon imposition fiscale (dit autrement, j’ai choisi l’attribution de 66 € du budget de l’État).
Autres infos :
En 2018, il semble que les dons aient été en baisse, plus de 6 % de baisse sur les dons et 6 % de baisse sur le don moyen, selon France Générosités / Recherche & Solidarités, et les raisons évoquées étaient principalement l’instabilité fiscale (prélèvement à la source, hausse de la contribution sociale généralisée — CSG —, etc.) et le remplacement de l’impôt sur la fortune (ISF) par l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Autre retour sur 2018 : « “C’est la première fois depuis quinze ans que les dons sont en baisse”, confirme Pierre Siquier, président du syndicat France Générosités, de 4,2 % selon le baromètre de l’institution… » (article de Challenges de décembre 2019).
En novembre 2018, le Sénat français avait voté une augmentation de 66 % à 70 % de la réduction d’impôt (le gouvernement étant contre, elle a été annulée par l’Assemblée nationale après la commission mixte paritaire). Le gouvernement voudrait par ailleurs favoriser les legs, mais la plupart des associations ne sont pas forcément en capacité d’en recevoir de part leurs statuts, ou ne souhaitent pas en recevoir.
Le changement de l’année 2019 en France était le passage au prélèvement à la source : comme l’a expliqué Framasoft, « rien ne change pour votre réduction d’impôt ».
En 2020, selon France Générosités / Recherche & Solidarités, « le don moyen annuel montre, quant à lui, une augmentation de 8,4 % passant de 507 euros en 2018 à 550 euros en 2019. » et « _l’augmentation du don moyen résulte de l’augmentation des dons conjuguée à la baisse du nombre de foyers fiscaux donateurs, passant de 5 millions en 2018 à 4,7 millions en 2019. _ »
Selon Infodon.fr (via une enquête Kantar Public réalisée auprès de 2 105 personnes âgées de quinze ans et plus, échantillon représentatif de la population française, mars 2018) : « 58 % des Français déclarent soutenir financièrement assos et fondations », « 45 % donnent au moins une fois par an » (femmes : 53 %, hommes : 47 %). À comparer avec la même étude en septembre 2020 auprès de 2 075 personnes âgées de 15 ans et plus, échantillon représentatif de la population française) : « 52 % des Français déclarent soutenir financièrement assos et fondations » et « 40 %
donnent au moins une fois par an (femmes : 55 %, hommes : 45 %).
Forcément, je connais mieux le sujet pour la France, mais voici néanmoins quelques infos glanées pour d’autres pays (et je ne doute pas que les visiteurs compléteront dans les commentaires) :
(source)
Ou un autre exemple via Mon super abonnement Internet à 30,99€/mois.
« Sacrifier une partie de son revenu pour faire un don à une association, c’est une affaire sérieuse. » (patrick_g)
Liste non exhaustive de dons financiers ou de temps à des associations du Libre ou pour libérer quelque chose :
Liste non exhaustive :
Liste non exhaustive :
Une question un peu annexe ici vu le titre « dons aux associations » mais qui a déjà été posée ici ou là sur LinuxFr.org : peut‐on faire un don (sans contrepartie) à une entreprise ? Pour prendre deux sites que j’aime bien : il semblerait que Next INpact (SARL de presse) ait opté pour un statut premium (avec contrepartie, donc) parce que ce n’était pas possible, mais bénéficie en plus de dons déductibles via la plate‐forme de dons pour la presse en ligne J’aime l’info (l’appel à dons de décembre 2020 par exemple). Tandis que Reflets.info (SAS) accepte les dons.
Lors d’une recherche rapide précédente, j’avais vu évoquer l’utilisation du compte 7713 « libéralités perçues » du plan comptable, d’un justificatif clair pour la comptabilité (un expert comptable et/ou un notaire sont évoqués), d’une exonération de TVA si aucune vente de bien ou de service n’est associée. Bref, la question des taxes et impôts à payer pour le donateur (60 % entre non‐parents ?) et l’entreprise n’est pas forcément claire. Cela reste assez flou et hypothétique, et ça mériterait une question aux impôts.
.
La question avait été posée lors de l’épisode 3 de cette série de dépêches : quel(s) logiciel(s) libre(s) utiliser pour faire les dons ? Ou pour les gérer ? En général, pour les faire, un navigateur fait l’affaire : paiement en ligne, réception de l’éventuel reçu fiscal, réception d’un éventuel message de remerciement.
Pour les reçus fiscaux, il convient de les conserver avec les documents des impôts pendant le temps nécessaire (suivant la législation locale).
Pour les dons via des intermédiaires, par exemple Liberapay, HelloAsso ou Tipeee, il faut conserver soigneusement les identifiants du compte créé pour l’année suivante.
Si vous avez opté pour l’adhésion à une structure plutôt que le don, vous allez recevoir des identifiants aussi et probablement une lettre interne ou des choses du genre, ainsi que certainement une convocation à une assemblée générale annuelle.
Et si vous avez opté pour versement régulier (virement ou prélèvement), ça ne change pas fondamentalement les choses ; éventuellement, l’organisme qui prélève vous prévient un peu avant chaque prélèvement par courriel.
Il existe aussi dans le Libre des logiciels ou des événements spécialement prévus pour les dons :
À ma connaissance, le site HelloAsso évoqué dans un commentaire de 2015, n’utilise pas une plate‑forme libre, contrairement à Liberapay.
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Python 3.9 est sorti le 5 octobre 2020, après dix‑sept mois de développement.
Voyons ce que cette version apporte comme nouveautés…
Generics
dans les collections pour les typehint
sans importation depuis typing
removeprefix
et removesuffix
dans str
Cette version comporte pas moins de neuf nouveautés par rapport à la version 3.8 sortie le 14 octobre 2019, soit presque un an après.
La première chose qu’on peut noter c’est justement la date de sortie. Habituellement, les versions de Python sortent tous les dix‑huit mois. La PEP 602 décide de changer ça et de faire des sorties tous les douze mois et ceci pour plusieurs raisons :
Toutefois, le développement se fait sur dix‑sept mois :
n - 1
;Les versions majeures (3.x) sont maintenues pendant cinq ans :
PEP 573 : les modules Python et les extensions Python ne sont pas gérés de la même façon à ce jour. Les extensions :
Il y avait quelques astuces pour pouvoir avoir un état du module (en utilisant des variables globales par exemple), mais l’amélioration apportée dans Python 3.9 permet aux développeurs et développeuses de modules qui le souhaitent d’avoir directement les informations nécessaires (instance, classe, module…).
Ça devrait permettre de corriger les PEP 3 121 et PEP 489 et d’avoir des modules :
Pour bénéficier de ces avantages, les modules d’extension C doivent faire de menues modifications dans leur code source. Cela parait suffisamment petit/simple pour que ce soit géré par une macro qui génère du code compatible Python 3.8 — et Python 3.9.
Les modules intégrés — built‑in — ont déjà été modifiés en conséquence.
D’autres optimisations viendront s’ajouter en Python 3.10 pour les modules d’extension.
PEP 584 : « Comment fusionner deux dictionnaires en Python en une instruction ? »
C’est une des questions les plus vieilles et plus lues sur StackOverflow à propos de Python : vieille de plus de douze ans, votée à plus de 5 000, dans les favoris plus de 1 000 fois, contient 47 réponses et aucune n’est satisfaisante.
Il n’y a pas non plus une façon plus évidente qui se détacherait des autres. En Python, on préfère qu’il n’y ait qu’une façon évidente de faire les choses si possible. C’est tellement courant comme besoin que les développeurs Python ont fini par trouver une solution et, en plus, elle est élégante.
Pour faire l’union (ou la fusion) de deux dictionnaires, il a été décidé d’utiliser l’opérateur |
, déjà utilisé dans les opérations sur les bits ou sur les set
. Pour fusionner d1
avec d2
et obtenir un nouveau dictionnaire, on peut donc faire :
d3 = d1 | d2
Attention toutefois, l’opérateur n’est pas commutatif, c’est‑à‑dire que d1|d2
n’est pas forcément équivalent à d2|d1
. Les clés et valeurs de droite écrasant celles de gauche.
Generics
dans les collections pour les typehint
sans importation depuis typing
PEP 585 : Python peut gérer du typage à l’analyse de syntaxe (via des outils supplémentaires) mais aussi à l’exécution.
La situation actuelle repose sur une succession de PEP (484, 526, 544, 560 et 563) et a abouti à l’existence d’une hiérarchie de types génériques dupliqués, par exemple typing.List
et le type interne list
.
Exemple fictif :
from typing import List
def first_int_elem(l: List) -> int:
return int(l[0]) if l else None
s = ("1", "2", "3")
print(f"{first_int_elem(list(s))=}")
On devait utiliser à la fois la list
interne et la List
de typing
. Dans ce cas précis, on pouvait toutefois utiliser directement list
car on ne précise pas une liste de quoi.
Prenons alors un exemple plus précis :
from typing import List
def first_int_elem(l: List[int]) -> int:
return l[0] if l else None
s = (1, 2, 3)
print(f"{first_int_elem(list(s))=}")
Ici, et jusqu’à précédemment, il était impossible de substituer le type List
de typing
par la list
interne, la syntaxe list[int]
n’étant pas acceptée (TypeError: 'type' object is not subscriptable
).
Ceci est maintenant possible en Python 3.9 pour les types internes suivants :
tuple
;list
;dict
;set
;frozenset
;type
;collections
;contextlib.AbstractContextManager
;contextlib.AbstractAsyncContextManager
;re.Pattern
;re.Match
.def first_int_elem(l: list[int]) -> int:
return l[0] if l else None
s = (1, 2, 3)
print(f"{first_int_elem(list(s))=}")
Un type peut accepter des paramètres génériques s’il implémente la méthode __class_getitem__
. Ces paramètres génériques sont conservés par l’environnement d’exécution dans un attribut __args__
.
L’instanciation d’un type générique ne conserve pas les paramètres génériques, ainsi list()
et list[int]()
désigne le même type de liste et peuvent, à l’exécution, contenir des objets de tout type.
L’importation des types équivalents depuis typing
est dépréciée mais ne génère pas d’avertissement.
PEP 593 : avec Annotated
du module typing
, il est maintenant possible d’annoter une expression quelconque sur un type. Cette annotation peut être lue par un analyseur de type ou par l’environnement d’exécution. Cela permet par exemple à un cadriciel de définir des informations supplémentaires sur des types primitifs (int
, str
…).
À l’exécution get_type_hints
a été enrichi pour pouvoir lire ces annotations avec include_extras
:
@struct2.packed
class Student(NamedTuple):
name: Annotated[str, struct.ctype("<10s")]
get_type_hints(Student) == {'name': str}
get_type_hints(Student, include_extras=False) == {'name': str}
get_type_hints(Student, include_extras=True) == {
'name': Annotated[str, struct.ctype("<10s")]
}
Annotated
peut prendre plusieurs annotations (l’ordre est conservé). Toutefois, si une annotation est de type Annotated
, la liste résultante sera aplatie :
Annotated[Annotated[int, ValueRange(3, 10)], ctype("char")] == Annotated[
int, ValueRange(3, 10), ctype("char")
]
On peut utiliser les annotations avec des paramètres génériques :
Typevar T = ...
Vec = Annotated[List[Tuple[T, T]], MaxLen(10)]
V = Vec[int]
V == Annotated[List[Tuple[int, int]], MaxLen(10)]
Ces annotations peuvent permettre de simplifier du code et voir émerger de nouveaux cadriciels.
PEP 614 est une modification mineure, qui ne concernera probablement que ceux créant ou utilisant certains cadriciels, mais ça peut permettre de largement simplifier du code.
Quand on applique un décorateur en Python, la syntaxe autorisée était :
@
+variable
(+.
+attribut
)* + ((
+ parameters +)
)?
Ça paraît suffisant, mais en fait c’était hyper restrictif.
Prenons l’exemple d’un cadriciel fictif qui permet de brancher des fonctions à des clics sur des boutons d’une interface graphique :
buttons = [QPushButton(f'Button {i}') for i in range(10)]
# Do stuff with the list of buttons...
button_0 = buttons[0]
@button_0.clicked.connect
def spam():
...
button_1 = buttons[1]
@button_1.clicked.connect
def eggs():
...
On est obligé d’utiliser une variable temporaire car la syntaxe est restrictive pour les décorateurs.
À partir de cette version 3.9, on peut utiliser des expressions complètes pour décorer une fonction :
buttons = [QPushButton(f'Button {i}') for i in range(10)]
# Do stuff with the list of buttons...
@buttons[0].clicked.connect
def spam():
...
@buttons[1].clicked.connect
def eggs():
...
Bref, une bonne chose qui peut simplifier le code.
PEP 615 : un nouveau module intégré a été ajouté en Python 3.9 : zoneinfo
.
Le module se base sur les fuseaux horaires définis dans le système, se reposant sur les données de l’IANA. La plupart des systèmes ont ces informations et sont donc mis à jour régulièrement. Pour d’autres (Windows), cette base de données n’est pas disponible. Dans ce cas, le paquet Python tzdata
contient une base de données à jour et est utilisé si installé.
Cela permet, sauf si j’ai mal compris, de se passer du paquet pytz
et de pouvoir jouer avec les dates et leur fuseau horaire plus simplement qu’avant.
Une variable d’environnement (PYTHONTZPATH
) ainsi qu’une fonction (zoneinfo.reset_tzpath
) permettent de changer les chemins de recherche des données de l’IANA.
Le module contient surtout une classe ZoneInfo
qui permet :
Europe/Paris
— les fuseaux horaires construits sont mis en cache ;tzinfo
des classes et fonctions du module datetime
.zone = ZoneInfo("Europe/Paris")
dt = datetime(2020, 12, 3, 16, 15, tzinfo=zone)
removeprefix
et removesuffix
dans str
PEP 616 : souvent, les développeurs voulant supprimer un préfixe ou un suffixe d’une chaîne de caractères utilisaient str.lstrip
et str.rstrip
, et se retrouvaient surpris que le paramètre passé soit interprété comme un ensemble de caractères.
>>> "test_terrible_name".lstrip("test_")
# enlève tous les caractères 't', 'e', 's' et '_' en début de chaîne
'rrible_name'
De fait, cela résultait soit en du code lourd soit à une implémentation souffrant souvent de bogues subtils autour de la gestion de chaînes vides. Il était donc nécessaire que Python réponde à ce besoin courant avec une solution fiable.
Désormais, str.removeprefix
et str.removesuffix
remplissent ce vide et permettent d’écrire du code plus élégant.
Par exemple, dans le code de Python lui‑même (find_recursionlimit.py
) :
if test_func_name.startswith("test_"):
print(test_func_name[5:])
else:
print(test_func_name)
Ce code devient :
print(test_func_name.removeprefix("test_"))
Ou encore le code suivant (cookiejar.py
) :
def strip_quotes(text):
if text.startswith('"'):
text = text[1:]
if text.endswith('"'):
text = text[:-1]
return text
qui devient :
def strip_quotes(text):
return text.removeprefix('"').removesuffix('"')
PEP 617 : la grammaire de Python était basée sur une grammaire LL(1). Cependant, certaines fonctionnalités de Python n’étaient pas exprimables selon ce modèle, et nécessitaient des bidouillages qui compliquaient la maintenance. Les deux exemples bloquant Python sont les règles où l’ambiguïté ne peut être résolue qu’en regardant les symboles suivants, ou la récursion par la gauche.
Un des problèmes qui s’est posé (à partir de 2011 !) était, par exemple, avec le code suivant :
with (
open("a_really_long_foo") as foo,
open("a_really_long_bar") as bar,
open("a_really_long_baz") as baz
):
Ce dernier était considéré comme invalide, contrairement au reste des constructions Python (il fallait utiliser \
pour la continuation de ligne).
En passant à une grammaire PEG[en], les règles sont plus proches de la façon dont elles vont être analysées. Lors d’ambiguïtés, chaque possibilité est vérifiée et si elle échoue, teste la variante possible suivante. Les grammaires PEG ne gèrent habituellement pas la récursion par la gauche, mais cela a pu être implémenté sans difficulté.
Le nouvel analyseur est légèrement plus rapide et utilise un peu moins de mémoire que l’ancien. Il permet de rendre le code plus maintenable, ainsi que de résoudre des problèmes (tel que celui avec le with
exposé ci‑dessus) qui n’avaient pu être résolus pendant des années à cause de la complexité induite.
Les deux analyseurs continuent de coexister et aucune règle de grammaire ne requiert le nouvel analyseur (utilisé par défaut).
On peut revenir à l’ancien analyseur à tout moment avec python -X oldparser
ou en utilisant une variable d’environnement PYTHONOLDPARSER=1
. Si rien ne l’empêche, l’ancien analyseur sera retiré dans Python 3.10.
Les modules dépréciés de Python 3 qui étaient maintenus pour que des personnes écrivent plus facilement des bibliothèques et des programmes compatibles Python 2 et 3 sont supprimés de cette version.
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N. D. M. : vu le contexte de pandémie de Covid‑19 et les restrictions locales ou nationales (Belgique, France, Québec et Suisse) sur les rassemblements, certains événements sont susceptibles d’être annulés (que les organisateurs aient pensé à mettre à jour l’Agenda du Libre ou non).
Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces vingt‑deux événements (France : 21, Belgique : 1) est en seconde partie de dépêche.
Vous êtes confiné.e.s ? Vous voudriez investir un peu de votre temps libre pour participer à la cartographie de camps de réfugiés avec nous et d’autres bénévoles ces prochaines semaines, afin d’avoir un impact positif sur les conditions de vie de ces derniers ?
Vous aimeriez apprendre ou vous perfectionner en cartographie à distance à partir d’images satellites ?
Rencontrer de nouvelles personnes autour d’un bon café et dans le confort de votre foyer ?
Venez participer à notre atelier de cartographie solidaire et participative (Mapathon) ce lundi de 18h à 20h ! Les mapathons en ligne, ça a lieu chaque lundi, c’est 100% depuis votre fauteuil, gratuit, simple et accessible à tou.te.s !
Inscription sur la page Eventbrite ci-contre : https://www.eventbrite.ca/e/128471629101
Ou à l’adresse mail : missingmaps@cartong.org
Permanences Alolise
Tous les lundis soir à partir de 19h00.
Rencontrer les bénévoles, passer sous Linux, poser des questions sur le libre, les logiciels, l’hébergement…
Pour passer votre ordinateur sous Linux, nous vous invitons à nous prévenir avant votre passage.
Vous vous interrogez sur les produits que vous acheter : d’où ça vient, comment c’est fabriqué, est-ce équitable, écologique?
Avez-vous pensé à vous posez les mêmes questions concernant la monnaie que vous utilisez chaque jour?
Dans le cadre de la transition écologique, la monnaie joue un rôle majeur.
Savez-vous qui crée les unités monétaires que vous “possédez”?
La monnaie libre permet de garantir la valeur et de privilégier l’humain.
Elle appartient à ses utilisateurs et non pas à une banque.
Elle est créée par les utilisateurs et non par la dette ni par minage.
Elle participe pleinement à la phase de résilience qui va suivre les bouleversements économiques majeurs qui s’annoncent.
Elle existe depuis 3,5 ans et ne nécessite aucun frais d’entrée ou de gestion.
C’est une monnaie qui peut être utilisée localement mais qui ne connaît pas de frontières
Elle intègre un dividende universel attribué automatiquement chaque jour.
C’est une autre façon de voir le revenu universel et c’est opérationnel dès aujourd’hui.
Dans le but de faire toutes les visio concernant la monnaie libre au même endroit A partir du mois d’octobre nouvelle adresse pour les visio discussions : https://meet.jit.si/Monnaie-libre
Un petit tuto pour utiliser jitsi : cliquez ici
Pour toutes questions préalable voir Forum : visio-conference-tous-les-lundi-soir
La réunion commence à 19h30 mais on teste les connexions à partir de 19h20. (privilégier le câble)
Il n’y a pas vraiment de présentation, ces visioconférences sont faites pour faire connaissance (activez vos caméras), et répondre aux questions, en préparation de rencontre réelles pour utiliser cette monnaie.
Quelques vidéos de présentation sur youtube
L’émission Libre à vous ! de l’April est diffusée chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur radio Cause Commune sur la bande FM en région parisienne (93.1) et sur le site web de la radio.
Le podcast de l’émission, les podcasts par sujets traités et les références citées sont disponibles dès que possible sur le site consacré à l’émission, quelques jours après l’émission en général.
Les ambitions de l’émission Libre à vous !
La radio Cause commune a commencé à émettre fin 2017 sur la bande FM en région parisienne (93.1) et sur Internet.
Depuis mai 2018, l’April anime une émission d’explications et d’échanges sur la radio Cause Commune sur les thèmes des libertés informatiques.
Libre à vous ! se veut avant tout une émission d’explications et d’échanges sur les dossiers politiques et juridiques que traite l’April, et sur les actions qu’elle mène.
Pour les libertés informatiques en général, et pour le logiciel libre en particulier.
Libre à vous ! c’est aussi un point sur les actualités du Libre, des personnes invitées aux profils variés, de la musique sous licence libre, des actions de sensibilisation.
Donner à chacun et chacune, de manière simple et accessible, les clefs pour comprendre les enjeux mais aussi proposer des moyens d’action, tel est l’objectif de cette émission hebdomadaire, qui est diffusée en direct chaque mardi du mois de 15 h 30 à 17 h.
L’émission dispose :
d’un salon dédié sur le webchat de la radio (salon #libreavous).
Radio Cause Commune, 22 rue Bernard Dimey, Paris, Île-de-France, France
La permanence d’ADeTI est un moment d’accueil avec des bénévoles pour apprendre à utiliser un ordinateur sous GNU/Linux (Ubuntu, Linux Mint, Debian…) mais aussi :
Mais c’est aussi un moment consacré pour :
Nous accueillons également des membres de l’association Touraine Data Network et A-Hébergement qui peuvent répondre aux questions concernant Internet, les réseaux et l’hébergement : connexion à Internet, alternatives aux “Box” et aux opérateurs/FAI commerciaux, Neutralité du Net, Vie Privée, Blog, Site Internet/Web…
Met de opkomst van Flatpak is er voor de eindgebruiker een ruimer aanbod aan Linux-gebaseerde desktopsoftware. Flatpak is een “containerachtige” benadering van softwaredistributie, waarbij toepassingen in een “sandbox” (virtuele afgesloten omgeving) draaien. Flatpak is evenwel geen oplossing om Windows-software op Linux te installeren.
In deze sessie bekijken we de 'ins and outs' van Flatpak, het aanbod en de instellingsmogelijkheden. We vergelijken Flatpak met de directe concurrentie (Appimage & Snap), en stippen ook nog het verschil aan met echte “containerisatie” zoals Docker, dat erg populair is in server- en cloud-omgevingen.
Tenslotte frissen we onze kennis op van klassiek pakketbeheer onder Linux (pakketbeheerders, softwarebronnen, pakketformaten, tarball's,…).
Koen Wybo is leerkracht secundair onderwijs met een passie voor Linux en vrije software (LaTeX, Scribus, Kdenlive, etc). Sinds 2011 heeft hij zich gespecialiseerd in Debian. Koen is de auteur van 'Debian Stretch, Basisboek' (www.linuxleren.nl).
Calc, module de la suite bureautique LibreOffice, permet de rentrer des formules mathématiques dans un tableau, ceci afin de calculer automatiquement des budgets, des horaires, des dates.
L’outil propose de nombreuses fonctionnalités supplémentaires, tels que la création de graphes, ou encore d’outils pour trier des résultats.
Ces deux ateliers permettront de découvrir le maniement du logiciel et à en acquérir les principales techniques, seront notamment créés lors de cette session d’ateliers un calendrier professionnel ainsi qu’un tableau de budget.
Horaires
Cette animation se déroule l’après-midi, de 15 h à 17 h.
Inscription aux ateliers
La participation est limitée au nombre de places. Pré-inscription possible depuis le site web.
Chaque mercredi soir, l’association propose une rencontre pour partager des connaissances, des savoir-faire, des questions autour de l’utilisation des logiciels libres, que ce soit à propos du système d’exploitation Linux, des applications libres ou des services en ligne libres.
C’est l’occasion aussi de mettre en avant l’action des associations fédératrices telles que l’April ou Framasoft, dont nous sommes adhérents et dont nous soutenons les initiatives avec grande reconnaissance.
Atelier gratuit - inscription obligatoire à epn@salledesrancy.com
L’EPN des Rancy (249, rue Vendôme, 69003 Lyon) et un membre de la communauté du libre vous proposent ce cycle d’ateliers de 4 séances obligatoires afin de à créer un espace dans lequel vous pourrez stocker toutes vos données personnelles.
Ces ateliers sont ouverts à tous.
N’hésitez pas à venir nombreux ce mercredi 09 décembre.
En savoir + : cliquez ici
Attention : Mercredi 2 décembre + Mercredi 9 décembre + Mercredi 16 décembre + Mercredi 06 janvier
Gagnez votre liberté avec les logiciels logiquement libres !
Venez découvrir Linux et les Logiciels Libres et vous faire aider pour l’installation, l’utilisation et à la prise en main, dans différents lieux. Des ateliers informatiques pour réduire la fracture numérique.
Le contenu de l’atelier s’adapte aux problèmes et aux questionnements des personnes présentes avec leur(s) ordinateur(s), qu’il soit fixe ou portable, et permet ainsi l’acquisition de nouvelles compétences nécessaires à une autonomie numérique certaine, au rythme de chacun. Des ordinateurs sont également mis à la disposition du public.
Pour rester en conformité avec le décret du 31 mai 2020, nous vous rappelons que les masques doivent être portés systématiquement par tous dès lors que les règles de distanciation physique ne peuvent être garanties. Notez bien que le respect des gestes barrières et des règles de distanciation sociale, restent quant à eux, obligatoire.
Une inscription préalable est nécessaire pour participer à ces permanences. Elles sont ouvertes en priorité aux adhérents à jour de cotisation auprès de Montpel’libre… Elles sont proposées dans le cadre des différents partenariats qui lient les différentes structures Shantidas à Montpel’libre.
Bus Lio, ligne 661, direction Lodève, arrêt Lodève Gare Routière.
GPS Latitude : 43.73094 | Longitude : 3.32060
Carte OpenStreetMap
Jeudis 03, 10, et 17 décembre 2020 de 9h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 (tous les jeudis)
Vendredis 04, 11 et 18 décembre 2020 de 9h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 (tous les vendredis)
Shantidas - 11 Grand Rue 34700 Lodève
Les membres du collectif Giroll, GIROnde Logiciels Libres, se retrouvent une fois par semaine, pour partager leurs savoir-faire et expériences autour des logiciels libres.
Le collectif réalise aussi une webradio mensuelle, tous les seconds jeudis du mois, à retrouver en direct sur le site de Giroll ou en direct à la Mezzanine.
Ces rencontres sont ouvertes à tous.
Attention, nous respectons scrupuleusement les règles dues au coronavirus : port du masque obligatoire, gel hydroalcoolique à l’entrée, et nombre maximum de 20 personnes en même temps.
Atelier gratuit - inscription obligatoire à epn@salledesrancy.com
L’EPN des Rancy (249, rue Vendôme, 69003 Lyon) et ses partenaires : Aldil, Hadoly, Siick et Tadaa vous proposent un cycle d’ateliers pour prendre en main des outils en ligne libres et respectueux de la vie privée afin de s’émanciper des géants du web. Ces ateliers sont ouverts à tous. Thématique abordée : Communiquez avec vos proches ou votre équipe
N’hésitez pas à venir nombreux ce jeudi 10 décembre. En savoir + : cliquez ici
Gagnez votre liberté avec les logiciels logiquement libres !
Venez découvrir Linux et les Logiciels Libres et vous faire aider pour l’installation, l’utilisation et à la prise en main, dans différents lieux. Des ateliers informatiques pour réduire la fracture numérique.
Le contenu de l’atelier s’adapte aux problèmes et aux questionnements des personnes présentes avec leur(s) ordinateur(s), qu’il soit fixe ou portable, et permet ainsi l’acquisition de nouvelles compétences nécessaires à une autonomie numérique certaine, au rythme de chacun. Des ordinateurs sont également mis à la disposition du public.
Pour rester en conformité avec le décret du 31 mai 2020, nous vous rappelons que les masques doivent être portés systématiquement par tous dès lors que les règles de distanciation physique ne peuvent être garanties. Notez bien que le respect des gestes barrières et des règles de distanciation sociale, restent quant à eux, obligatoire.
Une inscription préalable est nécessaire pour participer à ces permanences. Elles sont ouvertes en priorité aux adhérents à jour de cotisation auprès de Montpel’libre… Elles sont proposées dans le cadre des différents partenariats qui lient les différentes structures Shantidas à Montpel’libre.
Bus Lio, ligne 661, direction Lodève, arrêt Lodève Gare Routière.
GPS Latitude : 43.73094 | Longitude : 3.32060
Carte OpenStreetMap
Jeudis 03, 10 et 17 décembre 2020 de 9h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 (tous les jeudis)
Vendredis 04, 11 et 18 décembre 2020 de 9h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 (tous les vendredis)
Shantidas - 11 Grand Rue 34700 Lodève
Atelier gratuit - inscription obligatoire à epn@salledesrancy.com
L’EPN des Rancy (249, rue Vendôme, 69003 Lyon) et l’association Aircarto vous proposent ce cycle d’ateliers de 5 séances obligatoires afin de monter soi-même un capteur de pollution atmosphérique.
Ces ateliers sont ouverts à tous.
N’hésitez pas à venir nombreux ce samedi 12 décembre.
En savoir + : cliquez ici
Attention : Samedi 3 octobre + Samedi 14 novembre + Samedi 12 décembre + Samedi 16 janvier + Samedi 27 mars
Samedi 12 décembre 2020 10h-12h (en ligne):
Les cafés numériques proposent un temps de discussion pour découvrir sans stress et sans complexe les grandes thématiques du monde numérique.
Pendant cette nouvelle période de confinement, restez connecté en participant à ce café numérique en ligne.
À l’ordre du jour : Les logiciels libres !
Marre de télécharger illégalement des logiciels de design ? Envie de faire des visio sans avoir peur de la confidentialité de vos échanges ?
Contrairement aux idées reçues, il n’est pas nécessaire de payer pour bénéficier d’un environnement logiciel fonctionnel et stable et sûr.
Pour aider le public villeurbannais à peser le pour et le contre, nous organisons une rencontre autour du Libre.
Au programme : présentation d’alternatives, et réflexions sur les futures actions au sein de la médiathèque (et ailleurs) pour vous aider à opérer une transition en douceur vers un monde numérique délivré (au moins partiellement) des questions financières.
Accès à l’évènement en suivant ce lien
Toutes les informations sur les services proposés par les médiathèques durant le confinement sont accessibles ici.
L’association LUG68 vous invite à sa prochaine réunion informatisée mensuelle, le samedi après-midi à Murbach-près-Guebwiller, où vous pouvez venir avec votre machine, portable ou fixe pour :
Pour ceux qui viennent avec une tour, nous avons des écrans VGA sur place et un charriot pour transporter le matériel au 2ᵉ étage avec l’ascenseur.
Pensez simplement à ramener clavier, souris, et câble réseau RJ45 !
Côté fonctionnement, nous ne faisons pas de formation informatique à proprement parler : chacun vient avec ses besoins et/ou désirs, et avance à son rythme, en sollicitant l’aide des membres présents, dans une ambiance chaleureuse et conviviale !
Tous les autres détails sont sur notre site internet (rubrique débutants) !
À noter que le Domaine Langmatt est un hôtel-restaurant situé tout en haut de Murbach (800m d’altitude), dans la forêt : il faut dépasser la célèbre abbaye de Murbach, et continuer jusqu’au bout de la route, cf. carte OpenStreetMap.
Le bâtiment qui nous accueille est à gauche, et la salle au 3ᵉ étage !
L’association GULL StarinuX vous propose UN ATELIER EN LIGNE :
CRÉATION D’UN JEU à l’aide de JavaScript
Covid oblige, nos ateliers en présentiel ne pourront probablement reprendre qu’à partir de début 2021.
En attendant, nous organisons cette formation, qui devrait se faire sur 2 sessions.
INFOS:
Apprenez à créer un jeu d’une simulation d’entreprise.
- Le joueur est chargé de diriger une entreprise, il doit prendre des décisions impactant son développement.
- Ce type de jeu est adapté pour introduire de manière naturelle différents concepts informatique.
- Le langage utilisé sera JavaScript client, ne nécessitant qu’un navigateur Web (Firefox, Chrome, Edge…),
- Le plan du cours :
Présentation des structures de données en javascript, qui serviront de briques de base.
- Architecture du jeu :
Utilisation de la Programmation Orientée Objet (POO).
- Gestion de l’état du jeu :
Comment les objets communiquent entre eux et comment les données sont mises à jour.
- Présentation des principes de programmation :
Elle permet d’anticiper les évolutions potentielles du jeu.
NIVEAU: débutant, juste avoir envie d’apprendre.
Avoir une connexion Web de bonne qualité (fibre, THD…)
QUAND: EN VIDÉO-CONFÉRENCE, le samedi 12 décembre à 14h00 précises.
LIEU: DEPUIS CHEZ VOUS, votre ordinateur et un navigateur.
LE LIEN WEB DE RÉUNION en ligne: Il vous sera communiqué après votre inscription.
FORMATEUR: Peter, qui a réalisé 3 ateliers sur le langage Python avec grand succès unanime.
INSCRIPTION: infos-inscription
www.starinux.org/index.php?rev=ateliers-inscription.php
Modalités : comme à l’accoutumée, une adhésion annuelle est demandée, 20€ (10€ personne privée d’emploi), valable un an, pour plus de 10 ateliers.
Au plaisir de votre inscription, bien à vous,
Jean-Michel Meulien chargé événementiel de StarinuX, events@starinux.org
Présentation de l’E2L
Quel est le rôle de l’école du logiciel libre ?
Tout d’abord, ce n’est pas une école comme les autres. Elle n’a pas d’établissement fixe, pas de cours de récréation, pas de carte d’étudiant, ni de diplôme de fin d’année.
Comme toutes les écoles, son rôle est d’apprendre à ses élèves les logiciels libres, c’est-à-dire :
En fait, l’école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ᵉ siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
Comment fonctionne l’école ?
Cette école étant une association, elle possède, comme toutes les autres, un bureau, élu chaque année en assemblée générale, pour l’administrer. Mais elle a aussi des responsables pédagogiques dont le rôle est essentiel, car ce sont eux qui établissent les programmes des cours en fonction des souhaits des adhérents, valident les candidatures des enseignants et affectent les sessions.
Les membres du bureau et les responsables pédagogiques forment « l’encadrement de l’école ». Tous les membres “encadrants” doivent être membres de l’association.
Les locaux où se déroulent les cours seront ceux que l’on veut bien nous prêter : une salle des fêtes, un théâtre, une salle de réunion publique, un amphi dans une école publique, ou autre.
Les thèmes des cours sont définis par les adhérents en fonction de leurs envies, de leurs besoins. Les cours sont ensuite décidés par les responsables pédagogiques de l’école en fonction des enseignants disponibles.
Afin de permettre au plus grand nombre de participer et d’assister aux cours, les sessions se tiennent essentiellement le samedi. Une première de 9h à 13h, et une autre de 14h30 à 18h30.
Programme détaillé sur le site http://e2li.org
Cette suite de trois animations concerne le logiciel GIMP Éditeur d’image.
C’est un outil de retouche d’images libre et gratuit qui s’avère aussi efficace que ses homologues les plus connus.
Il peut réaliser du photomontage, de la retouche d’image, de la colorisation de dessin, du dessin à main levée, etc.
Les possibilités sont assez nombreuses selon les besoins, bien que ce soit un logiciel assez difficile à maîtriser, même en étant à l’aise avec l’outil informatique.
Il est impossible d’en comprendre tous les mécanismes en quelques séances, c’est pourquoi nous aborderons surtout les bases et les fonctions principales qui vous permettront d’effectuer de jolis photomontages.
Horaires
Cette animation se déroule l’après-midi, de 15 h à 17 h.
Inscription aux ateliers
La participation est limitée au nombre de places. Pré-inscription possible depuis le site web.
On vous propose une série d’apéro présentation en visioconférence:
La Monnaie Libre en Q&R,
Présentation des projets d’Econolibre,
Présentation de projets de monnaie libristes,
Alors notre monde en Monnaie Libre, comment on le fait ?
Chaque samedi à partir de 19h à 22h
Proposez des thèmes de discussion, basés sur la Monnaie Libre, dans la semaine qui précède…
Cela nous permettra de nous réunir, de voir comment nous supportons cette folie Covid-19, De poser des questions sur la monnaie libre et de présenter les nouveaux projets de l’association ECONOLIBRE et des projets d’autres acteurs Monnaie Libre; de réfléchir aux projets que nous pouvons faire ensemble, et de mieux nous connaître.
Rien de spécial à installer, ça se passera via le site web JitSi:
https://meet.jit.si/econolibre
On pourra décider d’autres dates de réunions-visio en format différent (ateliers, cours, etc.) qui sont proposés par l’équipe d’Econolibre.
Détails de l’association sur notre site : https://econolibre.org
On peut manger pendant les réunions (c’est un apéro).
Un petit TUTO pour expliquer comment utiliser Jitsi :
https://forum.monnaie-libre.fr/t/visioconference-avec-jistsi/10363
La réunion commence à 19h, mais on teste les connexions à partir de 18h50.
(si besoin) Une présentation pour les nouveaux monnaie libristes est faite, qui dure moins de 30mn et sera suivie de questions réponses.
Quelques vidéos de présentation sur notre chaine Youtube: (Econolibre)
https://www.youtube.com/channel/UC9e9jWjY8foLfJp_6KTIHRQ
Tous les seconds jeudi du mois a lieu la rencontre mensuelle des contributeurs habitants Montrouge et alentours au Schmilblick à partir de 19h.
Ce bar solidaire est situé au 94 avenue Henri Ginoux (station Vélib et parking vélo juste en face, bus 128 et 68 et métro Mairie de Montrouge à 4 min à pied).
Cette rencontre permettra de discuter des projets en cours et d’envisager des projets locaux dont la coordination se déroule depuis plus d’un an sur la page Montrouge et sur la page de discussion associée.
Comme toujours, les débutants et simples curieux sont les bienvenus.
--
Agenda des événements à venir : https://wiki.openstreetmap.org/wiki/Montrouge#Rencontres_locales
Mailing-list OpenStreetMap Paris Sud : https://listes.openstreetmap.fr/wws/info/local-paris-sud (moins de 10 messages par mois)
A partir de 15ans jusqu’à 77 ans.
Suite des journées de novembre et septembre.
Pour les plus technicien et curieux.
Apprendre à se servir du terminal, administrer son serveur, donner des droits utilisateurs, créer sa clef usb, faire des recherches avec GREP, utilisation les commande WGET WHOIS youtube-dl Bash.
Inscription à geeklibrepi@gaiac.eu
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Le MultiSpace3D est un logiciel de spatialisation du son dans un environnement multicanal développé sous GNU/Linux, mais qui peut être compilé pour Windows avec Msys2. Ce logiciel est sous licence GPL v3.
Cette version a été réalisée et testée sur Debian/LibraZik 2.
Il n’y a pas de limites au nombre de canaux ni au nombre d’éléments audios. Il permet le placement d’objets audios d’un séquenceur (Ardour ou Reaper) dans l’espace 3D d’un studio, d’une salle de concert ou de tout autre dispositif haut parlant en utilisant de simples coordonnées cartésiennes (x, y, z). Ces coordonnées peuvent être enregistrées dans les séquenceurs par automation.
Il ne s’agit pas de concurrencer des logiciels comme le Spaces3D du GRM ou le Spat Révolution de l’Ircam, mais de fournir un outil simple et efficace pour la spatialisation du son sous GNU/Linux.
Il dispose nativement de quinze greffons qui permettent de spatialiser le son pour des espaces de projections classiques : Auro5.1, Auro7.1, Auro9.1, Auro11.1, Auro13.1, mais aussi pour des structures plus complexes comme le studio 115 de Radio France, le studio 4 de l’Ircam ou le Klangdom de la NHK. Ces greffons reposent sur le langage Faust du Grame, et l’interface communique avec les greffons via le protocole OSC (Open Sound Control).
Par ailleurs, il dispose d’un utilitaire pour créer de nouveaux espaces afin d’en étendre les possibilités.
Il est possible de générer des fichiers DSP compilables dans l’application en ligne du Grame, FaustIDE, ou avec les scripts du langage Faust, pour générer des greffons LV2 ou VST.
Pour ce qui me concerne, je suis compositeur de musique électroacoustique et créateur de logiciels audio pour GNU/Linux, dont mcMidiPlayer, qui est un lecteur MIDI de fichiers audio multicanaux, et la metaSurface64 qui est une surface polyvalente de création de son. Tout ceci est présenté sur cette page.
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Bonjour,
eX Modelo — 3e édition — est une école de recherche sur l’exploration des modèles de simulation (analyse de sensibilité, calibration, validation, etc.) qui se tiendra du 30 mai au 4 juin 2021 dans un cadre champêtre à une heure de Paris.
Cette école thématique s’adresse aux masters, doctorant·e·s, ingénieur·e·s, chercheurs et chercheuses académiques et entreprises qui s’intéressent à la modélisation, quel que soit leur domaine scientifique. L’objectif est d’apprendre à devenir autonome dans l’exploration de ces modèles, dans un contexte convivial.
Les cours, TP et retours d’expérience seront animés par un réseau de chercheurs et de chercheuses qui ont une expertise reconnue dans ces pratiques transdisciplinaires.
Pendant cette semaine de formation, vous découvrirez pas à pas des méthodes avancées pour l’exploration des modèles, vous recevrez un enseignement théorique et vous participerez à des ateliers pratiques en groupe portant sur des cas d’étude adaptés.
La plate‑forme OpenMOLE, spécialement dédiée à l’exploration de modèles numériques, sera utilisée tout au long de la semaine pour faciliter la compréhension et la mise en œuvre des cas pratiques.
À vos agendas !
Renseignements :
L’ensemble des informations est disponible sur le site de la conférence.
L’équipe eX Modelo
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