En toute discrétion, la directrice générale de Polytechnique a acté l’adoption de Microsoft 365, déclenchant l’ire de chercheurs inquiets de l’exposition des données. Tant pis pour la souveraineté numérique.
Connu pour son savoir faire de dirigeant et d'investisseur, ce n'est pas un spécialiste des processeurs et de l'infrastructure informatique. Il propose une rupture stratégique.